Après FC Metz - Amiens (1-2), Alexandre Oukidja veut « désigner les hommes qui sont coupables »

21 septembre 2019 à 21h27 par Axel Watrin

Les Grenats ont concédé ce samedi soir leur quatrième revers consécutif, face à une formation amiénoise également à la lutte pour le maintien. Au classement, Metz plonge. Réactions.

DIRECT FM
Alexandre Oukidja, gardien de but du FC Metz
Crédit : Axel Watrin / Direct FM

Dans une rencontre annoncée comme déterminante dans la course au maintien, Metz a de nouveau fléchi. À domicile, devant Amiens, et au terme d’une bien terne prestation, entachée d’une première mi-temps calamiteuse. Mené d’un but à la pause après l’ouverture du score de Guirassy (0-1, 34’), le club mosellan a coulé lorsque Dibassy mettait à l’abri les siens (0-2, 54’).

Un matelas suffisamment confortable pour amortir le rebond messin offert dans la dernière demi-heure, et distingué par la réduction du score d’Habib Diallo (1-2, 68’). Miné par d’innombrables fautes techniques, le sixième rendez-vous des Grenats de la saison laisse entrevoir des perspectives sombres, quatre jours avant un déplacement périlleux dans le Forez, face à Saint-Étienne. Au compteur : quatre défaites, toutes consécutives depuis la première à Angers, et une 18ème place déjà embêtante.

Réactions

Alexandre Oukidja (gardien de but du FC Metz) : « Bien sûr je suis déçu. On voulait faire un très bon match, et on a su régler nos débuts de rencontres, un peu pénibles précédemment. Malheureusement, on fait toujours des erreurs individuelles qui nous pénalisent. Il faudra avoir des responsabilités, on va désigner les hommes qui sont coupables pour les faire réagir. C’est malheureux, car les buts proviennent des erreurs. Le positif, c’est que ce sont des erreurs individuelles, et dans le jeu, on a le niveau. Il faudra gommer ces erreurs, sinon ça va pas le faire ».

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Fabien Centonze (latéral droit du FC Metz) : « Ce sont des erreurs qui reviennent trop fréquemment qui nous pénalisent. On voit qu’on a la place, comme contre Bordeaux, mais on a le temps de se tirer une balle dans le pied avant de réagir. On n’est pas alarmistes, mais ça commence à faire beaucoup ».

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