Dans le duel des mal-class�s, le FC Metz a �t� surpris en toute fin de match par l'ESTAC. Pour les Grenats, l'op�ration maintien se complique s�rieusement.
Bis-repetita. Comme au match aller, les Messins ont �t� crucifi�s en toute fin de match par des Troyens r�alistes. � Saint-Symphorien, le bourreau des Mosellans de Philippe Hinschberger s'appelait Samuel Grandsir. Dans l'Aube cette fois, Adama Niane est venu d�livrer les siens alors que le coup de sifflet final approchait.
Les Lorrains regretteront d'abord la triple occasion apr�s quelques minutes de jeu, que Milicevic, Rivi�re et Roux n'ont pu concr�tiser. Les visiteurs pourront aussi remercier la barre transversale, par deux fois salvatrice en premi�re p�riode, ainsi que leur gardien, Eiji Kawashima, auteur de plusieurs parades d�cisives.
Sans solution � l'approche de la surface adverse, Renaud Cohade et les siens auraient pu prendre l'avantage � 20 minutes du terme sur une inspiration de Nolan Roux, dont la passe pour Florent Mollet m�ritait d'�tre d�cisive. Mais la frappe trop crois�e de l'ancien cristollien au point de p�nalty tutoyait le montant du portier aubois. Dans un second acte au rythme hach�, les joueurs de Jean-Luc Garcia s'en sont remis au r�alisme de leur attaquant Adama Niane. Apr�s un contre favorable aux abords de la surface messine, Mathieu Deplagne servait id�alement son co�quipier, qui trompait Kawashima d'une frappe crois�e.
Un troisi�me revers cons�cutif en championnat qui rel�gue les Messins � 8 points du barragiste lillois. ÈUne tr�s grosse d�ceptionÈ selon l'entra�neur messin Fr�d�ric Hantz, qui salue n�anmoins la pr�sence des supporters messins au Stade de l'Aube.
.
Le lat�ral gauche du FC Metz Julian Palmieri pointe un probl�me de finition et regrette le r�alisme troyen qui co�te cher aux Grenats.